Lu pendant mes vacances, ça m’a fait réfléchir:
il faut profiter des circonstances actuelles pour réfléchir aux limites que le réel impose à notre liberté : nous , pauvres humains, sommes limités dans les moyens dont nous disposons. A nous d’en faire le meilleur usage. De beaucoup mieux les repartir. Et de profiter au mieux de tout ce qui n’est pas rare, de tout ce qui augmente quand on le donne : les idées, la tendresse, l’amitié, le rire, l’amour. Ce n’est d’ailleurs pas un hasard si les réseaux, lieux réels ou virtuels de rencontre, ont pris tant d’importance : ils sont les instruments de la circulation des biens non rares.
La démocratie et le réel | Conversation avec Jacques Attali.